Bilan de la commission Internationale
Le dimanche 20 nov. 2005
Exigence de l’association sur les projets internationaux
- projet de coopération (mettre en place une action avec un partenaire)
- projet d’échange, de découverte, de tourisme
- rassemblement mondiaux
les différents projets évoqués
- Plum’do et Dinan : Madagascar (reprise du projet)
- Plum’do (l’ancien clan) : Sénégal (projet humanitaire)
- St Grégoire : Espagne (tourisme)
- Montaigne : Sénégal (reprise du projet)
- Lorient (éclés et ainés) : Irlande (reprise d’un projet)
- St Brieux : Caravane de la paix
Caravane de la paix
- Un groupe de 6 à 10 jeunes de + 18 ans à 25 ans
- Un groupe = une voiture (type 504) que le groupe retape
- Monter une animation (jeux, spectacles, ludothèque…)
- Quels axe ? Développement, paix, environnement, etc
- Prix pour un mois en Afrique : 1500 euros
Toutes les équipes partent sur la route (Bécours, Espagne, Maroc, Mauritanie pour arriver à Dakar au Sénégal).La durée du projet est du un mois mais les équipes peuvent rester plus longtemps si elles le désirent. Le retour doit être organisé par l’équipe.
Sénégal
Le projet constituerais à construire une salle de classe (environ : 7000 euros ), pour contribuer à la mise en place du centre de formation qui se situerais dans la banlieue de Dakar. En effet, au Sénégal, il y a un besoin de formation des jeunes.
- les contacts sur place sont très importants tout comme le pré camp. Celui ci permet de se mettre d’accord sur :
o le rythme du chantier,
o la vie quotidienne (ex : la composition du p’tit dèj, le rythme des repas…)
o le financement, les apports de chacun (la nourriture, les matériaux…)
- Avant de partir
o Bien se renseigner sur le plan médical ( vaccins, la qualité de l’eau…), les passeports
o Trouver des moyens de présenter notre culture, notre façon de vivre au quotidien et se renseigner sur la leur.
o Prendre contact avec des gens qui ont vécu au Sénégal pour qu’ils puissent nous parler de la vie là bas voir prendre part dans le projet ( ça veut pas forcément dire qu’ils partent aussi)
Si on est très curieux de connaître leur façon de vivre, eux aussi veulent savoir comment un ado d’un autre pays vit au quotidien, en plus, les stéréotypes ont souvent la vie dure !
Ça implique un respect vis à vis de ceux qui nous recevront, de leurs valeurs : ce n’est pas parce qu’on ne trouve pas d’ordi avec l’ADSL dans chaque maison , de lecteurs MP3, et de gens avec un portable vissé sur l’oreille à tout les coins de rue qu’ils sont malheureux et incapables de vivre, à chacun sa culture !! En bref, on ne débarque pas avec nos grand airs de prophètes de la culture française et du beurre salé allant prêcher la parole de Voltaire aux pauvres petits africains privés de tout . On n’est pas des colons !